Pour l’année 2019, l’accord non-marchand bruxellois prévoyait deux mesures phares :
- Vers la gratuité des frais de transport en commun, en tous cas à ce jour à 80% du prix réellement payé par le travailleur.
- Une prime récurrente complémentaire à la prime de fin d’année à partir de 2019.
De plus, le fameux accord prévoyait que, faute de pouvoir affecter l’entièreté des budgets aux mesures prévues, les partenaires sociaux pouvaient décider de les utiliser pour amplifier un autre avantage prévu dans le texte.
« Lors d’une dernière réunion, nous avons appris que, pour des raisons de rigueur budgétaire, et de calendrier, il ne serait pas possible de mettre en œuvre une part importante des mesures 2019, mais qu’en plus, il n’y avait pas d’accord politique pour affecter ces sommes pour augmenter la prime en 2019. Ces montants, plus de 7 millions d’euros, seraient donc perdus pour le personnel en 2019 », dénoncent d’une seule voix les syndicats.
La santé, l’insertion ou encore l’aide aux personnes
Face à ce constat pour le moins amer, le front commun a interpellé les huit Ministres et Secrétaires d’Etat concernés, afin de convenir rapidement d’un rendez-vous et ainsi de vérifier si l’accord sera respecté ou non en 2019.
Lire la suite de l'article sur le Guide social