Ses premières préoccupations sont de soutenir la mise en place de la charte associative et de ses principes afin de développer « des relations saines et constructives entre les pouvoirs publics et le monde associatif. Je souhaite également garantir une meilleure représentativité des ASBL auprès des pouvoirs publics », lance la professeure. « Il s’agirait de soutenir le développement d’organisations coupoles qui puissent faire valoir les intérêts de l’ensemble du secteur auprès des différents niveaux de pouvoir. »
Autre priorité qui revient régulièrement dans la bouche des politiques : la simplification administrative. « Nous sommes pour l’ouverture d’un guichet unique et, plus globalement, la mise en place d’un processus de simplification administrative concerté entre les administrations et les associations qu’elles subventionnent », ajoute-t-elle.
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