Quatorze associations d’éducation permanente attendent toujours leurs subsides en provenance de la Fédération Wallonie-Bruxelles, conditionnés par une reconnaissance officielle.
Depuis deux ans, celles-ci bénéficient d’un régime de convention suite à une reconnaissance provisoire.
Leur dossier est en cours d’évaluation. En cas de reconnaissance, elles passeront sous contrat-programme pour cinq ans, ce qui leur assure des subsides de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
Si certaines d’entre elles sont actuellement en recours suite à une évaluation négative, la majorité a reçu un feu vert.
Cependant, sans la signature de la ministre en charge, Joëlle Milquet, rien n’est garanti.
L’enveloppe allouée (on parle de 80 000 à 100 000 euros par ASBL et par an) est donc pour l’instant bloquée pour une durée qui semble indéterminée, sans plus de précision de la part du service d’éducati