Le licenciement de quatre employés de l’ASBL Bravvo ne cesse de faire du bruit depuis les révélations de la RTBF ce lundi.
Les quatre animateurs congédiés sont suspectés d’être à l’origine d’un trou de 400 € dans la caisse datant de 2017 et d’un double financement de voyages avec les jeunes.
En effet, pour financer ces séjours, le centre Averroès a reçu 500 euros de la Ville de Bruxelles, une camionnette pour le trajet et une quinzaine de milliers d'euros du Bureau international de la jeunesse (BIJ).
« Les bénéficiaires sont tenus de justifier par un rapport d’évaluation et par des justificatifs par des billets d’avion relatifs au projet. Le fait d’avoir un financement est impensable sans justificatif », explique Laurence Hermand directrice du BIJ interrogée par la RTBF.
Un licenciement sans préavis
De son côté, la CGSP remet en question les circonstances des licenciement