« Les travailleuses et les travailleurs du secteur ont été fortement malmenés par la crise sanitaire. Depuis le début de la pandémie, ils n’ont jamais arrêté d’accueillir les enfants et ce malgré le manque de matériel, la peur du virus. Aujourd’hui, c’est un secteur fragilisé, surchargé par une lourde charge administrative. Il s’essouffle... Et l’avenir ne s’annonce pas rose », alerte Cécile Van Honsté, directrice de la FILE, grande fédération des milieux d’accueil petite enfance et ATL, qui fédère un grand nombre de pouvoirs organisateurs constitués en asbl. Elle rajoute : « Nous déplorons l’absence de perspectives ambitieuses pour le secteur. Les réformes tant attendues seraient sérieusement rabotées. Sans compter que nous n’avons pas été concertés dans l’élaboration du nouveau contrat de gestion ONE. »
Le gouvernement de la Fédération Wallonie-Wallonie mène en ce moment un conclave