7.786 citoyens ont eu recours 17.496 fois à l’activité complémentaire via le travail associatif et 282 citoyens ont effectué 2.404 prestations occasionnelles de services entre particuliers, en rémunération de services non professionnel répartis entre le travail associatif, les services aux citoyens et les revenus de l’économie collaborative, selon les chiffres communiqués par la ministre de la Santé et de l’Action Sociale Maggie De Block.
Pour rappel, le travail associatif consiste à permettre aux salariés, indépendants, pensionnés et certains demandeurs d’emplois d’exercer une activité complémentaire (au sein d'une association, entre citoyens, ou via une plateforme collaborative) rémunérée jusqu’à 500€ par mois sauf exceptions) et/ou 6.000€ par an exonérés d’impôt.
La mesure est plus attractive pour le secteur du sport
D’après la ministre fédérale, il apparaît que le nouveau statut d’activités complémentaires profite avant tout au secteur sportif que ce soit via le travail associatif :
- Les activités sportives (70 %)
- L’aide pour la gestion administrative et l’organisation d’activités (7,2 %)
- Les initiations au sport (6,8 %)
Ou encore via les activités de citoyen à citoyen :
- Les cours de sport (21 %)
- Les petits travaux d’entretien (19 %)
- L’aide aux personnes nécessitant des soins (17 %)
Un plafond relevé pour le secteur sportif
« Le secteur du sport attendait depuis des années un système de rémunération simplifié. Cela explique donc le succès du nouveau statut auprès des clubs sportifs », souligne Maggie De Block, ministre des Affaires sociales.
Rappelons cependant, que la loi correctrice du 6 juillet 2018 entrée en vigueur le 1er Janvier 2019 prévoit un aménagement pour le secteur sportif et porte la rémunération jusqu’à 1.000 euros par mois.
Alors, pas étonnant que ce soit le secteur sportif est le secteur qui profite le plus !
Exercer une activité complémentaire
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