Tournai : l'Association des Sourds et Malentendants réclame plus de subsides et la présence d'un interprète
C’est un métier en pénurie. Ils ne sont qu’une dizaine en Fédération Wallonie-Bruxelles pour quelque 60 000 sourds profonds en Belgique. On parle ici des interprètes en langue des signes. Alfred Fiévet est sourd, c’est le président de l’Association tournaisienne, " apprendre la langue des signes prend 7 ans et le Master qui conduit au diplôme ne se fait qu’à Bruxelles, on manque d’écoles pour cette langue à part entière qui est assez complexe à apprivoiser. Comme ces études sont longues, les personnes qui s’inscrivent abandonnent en cours de route et on se retrouve aujourd’hui avec un manque terrible d’interprètes". À lire sur RTBF Info...
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