"On doit revenir à une législation propre aux ASBL", lance Marie Nagy. "Il est primordial de les soustraire à la définition des entreprises." DéFI se positionne contre le Code des sociétés, mais se montre aussi vigilant face aux ASBL para-communales. "Dans la tête des gens, il existe une confusion entre les ASBL du secteur privé et ces associations."
Elle évoque des structures comme Bravo ou Jihel, qui embauchent des centaines de personnes. "Il est difficile de se passer de ces ASBL", continue Marie Nagy. "Elles sont une certaine souplesse dans l'engagement du personnel, mais on peut par conséquent tomber dans le clientélisme. De plus, ce ne sont que des politiques que l’on retrouve à leur tête. Les Collèges communaux exercent une tutelle, mais c’est tout : elles sont complètement opaques."
Alors qu’elle figure comme conseillère communale dans la majorité, elle explique ne pas avoi