(Photo : Clairette Botte & Ghislaine Vandebroucke)
"C'est un métier à la carte. On travaille comme on le souhaite", sourit Clairette Botte. "Mon mari était sur la mutuelle après être tombé malade. Il a reçu beaucoup d'aide, c'est ainsi que je me suis lancé dans le volontariat." Elle explique s'être fait des amis avec ces personnes pour lesquels on a un contact d'humain à humain. "Il n'y a rien à faire, on se met un peu à nu lors des formations. Il y a de la bienveillance et du respect."
Comme ses collègues, elle officie au sein de l'ASBL Altéo. Cette association organise notamment des activités et des séjours pour des porteurs d’un handicap, malades ou valides. Cela va d'un séjour de vacances à de simples jeux. "C'est vraiment un plaisir d'aider ces personnes", commente Ghislaine Vandenbroucke.
Bénévole, mais surtout militante
De son côté, Manon du Gracq dit se sentir en déc