"Ma Weed perso" : voilà ce qu'ont lu les services de police en 2013 dans une annexe au Moniteur belge, rapporte Sudpresse. Il s'agissait d'une ASBL qui avait pour but de faire des recherches "sur les méthodes de culture qui minimisent le danger pour la santé publique", et de permettre à ses membres de cultiver des plantes de cannabis "conjointement à raison d’une plante par membre dans un endroit verrouillé interdit au public".
Le président et trésorier de l’ASBL, l'un des prévenus, a indiqué que son association s'adressait à des adultes consommateurs de cannabis qui souhaitaient consommer un produit "propre, non frelaté et qui n’allait pas enrichir les narcotrafiquants". Un public attiré sans publicité, mais par le bouche-à-oreille. Chaque membre de l’ASBL payait une faible cotisation pour obtenir la récolte de "sa" plante, explique le média. Du canabis qui provenait du domicile d’un