La propagation du COVID-19 n’arrête pas la solidarité. Si certaines ASBL ont été obligée de suspendre leurs activités, d’autres - notamment celles exerçant dans le secteur de l’aide à la personne - vont de l’avant. Et pour cela, rien ne les empêche de solliciter l’aide des volontaires.
Des activités volontaires limitées
"A priori, seules les activités volontaires qui peuvent être exercées de chez soi (type l’e-volontariat) et celles d’aide à la personne sont maintenues", précise Emmeline Orban, secrétaire générale de la Plateforme Francophone du Volontariat. En effet, l’arrêté ministériel publié ce mardi 18 mars distingue les services non-essentiels et essentiels. Cette deuxième catégorie - incluant les institutions de soins, d’accueil et d’assistance aux personnes âgées, aux mineurs, aux personnes moins valides et aux personnes vulnérables – n’est pas soumise à l’obligation d’or