Depuis le début de la crise sanitaire, de nombreuses ASBL ont su faire preuve de créativité pour poursuivre leur mission. Certaines sont parvenues à modifier leurs activités et celles des volontaires en basculant (quand cela était possible) sur le digital. « Les organisations de jeunesse ont été plus à même de répondre, constate Emmeline Orban, secrétaire générale de la Plateforme Francophone du Volontariat (PFV). Là où il y avait plus de jeunes c’était plus réalisable ».
Volontariat : les constats de la crise
La fracture numérique
Un constat qui révèle une grande fracture au sein de notre société : la fracture numérique. En effet, comme le souligne la secrétaire générale, « les volontaires qui ont pu continuer sont ceux qui avaient un PC, une caméra, qui savaient se servir d’internet… ». Et une fois cet obstacle dépassé, « il fallait aussi que les bénéficiaires puissent avoir a