Voici trois semaines que les institutions politiques francophone, wallonne et bruxelloise vivent au ralenti avec des conséquences dommageables pour l’intérêt public en général et les nombreuses politiques concertées qui étaient proches de leur aboutissement et de leur mise en œuvre en particulier.
Nous ne nous attachons pas à identifier les responsabilités d’une issue qu’il nous faut bien considérer comme fort irrespectueuse à l’égard de l’immense travail fourni dans bien des domaines par l’ensemble des acteurs de terrain intéressés. Nous pensons aux politiques de l’emploi, de l’enseignement, de la petite enfance, aux accords du non marchand et à bien d’autres encore. Nous ne nous sentons pas concernés par les causes de la rupture, mais bien par les conséquences déterminantes pour l’avenir de politiques qui améliorent le sort de citoyens fragilisés que toute politique responsable devr