Ce dimanche 5 décembre, c’est la journée internationale des Volontaires. Et après un an et demi de crise sanitaire, maintenir leur motivation et leur engagement est un défi de plus en plus dur à relever. « Il y a des associations qui ont su être très créatives, qui ont réussi à garder le lien avec les bénévoles, pour elles aujourd’hui c’est moins difficile », constate Emmeline Orban Secrétaire générale de la Plateforme Francophone du Volontariat (PFV).
La Secrétaire générale constate toutefois que certains secteurs ont davantage de difficultés à attirer des volontaires. C’est le cas notamment des clubs sportifs. « Les activités ont été relancées mais les clubs se rendent compte que tous les bénévoles ne sont pas revenus comme avant ». Un phénomène qui peut s’expliquer en partie par la difficulté pour les ASBL de garantir la fonction sociale du bénévolat. En effet, avec la pandémie les