Ce travail, élaboré par La Centrale nationale des Employés et des Cadres du secteur privé (CNE), est une récolte d’informations mettant en lumière les nécessités concernant les femmes du secteur socio-culturel, soumises à des injustices réelles. « Ce système compte sur nous pour jouer le rôle d'amortisseur des violences sociales, chargées de rendre le quotidien un peu plus supportable et un peu moins morose » adopte la CNE.
Les résultats de cette enquête ont dévoilé des éléments qui peignent un profond mal-être des travailleuses qui voient leur santé mentale se dégrader à cause, de la situation actuelle de pandémie, d'un abus de leur position et d'une sensation d’inégalités perpétuelles. « Nous travaillons dans des conditions toujours plus dégradées : petits salaires, souvent à temps partiel avec des contrats précaires soumis aux aléas des subsides ponctuels ou sous le couperet de s