Le 25 mai 2018, date d’entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (RGPD), approche à grand pas. Selon une récente enquête de Trend Micro, le numéro un mondial dans le domaine des solutions de cyber-sécurité, les entreprises sont mal préparées face aux exigences du RGPD. Des retards qui illustrent une véritable cacophonie.
Voici les pièges dans lesquels les ASBL ne devront pas tomber.
Des mesures mal anticipées
La fuite des données
Pour rappel, « il est question de fuite de données lorsqu’une violation de la sécurité entraîne, de manière accidentelle ou illicite, la destruction, la perte, l'altération, la divulgation non autorisée de données concernant une personne physique identifiée ou identifiable transmises, conservées ou traitées d'une autre manière, ou l'accès non autorisé à de telles données » (art. 4, 12) RGPD).
Le RGPD prévoit que le respo