L’idée sous-jacente voudrait que COCA, SHELL et NOKIA communiquent et vendent avec des instruments pointus, efficaces voire « secrets ». Tandis que les secteurs sociaux, culturels, éducatifs, de l’aide aux personnes ou de la protection de l’environnement se cantonneraient à un marketing dit social pour tenter de se financer.

Un « gentil marketing », pas de réel Marketing (ça c’est pour vendre ou faire voter), même pas de la publicité, tout au plus de la réclame.

Le terme est désuet mais il représente bien les méthodes utilisées par certains pour leur recherche de financement.

Trop souvent la recherche de fonds ou le recrutement de membres est confié à un stagiaire, un bénévoles qui n’a pas été formé pour cette tâche ou, le plus souvent, le dernier engagé. Quelle ineptie !  

Le première objectif de toute organisation réside dans sa survie : il faut la péréniser financièrement.